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Rendez-vous # Saint-Nazaire

Week-end extrême… Orient

Quand le pays du Soleil-Levant rencontre celui du soleil couchant, cela donne un week-end au Japon. Expériences, découvertes, animations et invités exceptionnels, quatre bonnes raisons de passer au Garage, les 23 et 24 mars pour un week-end Big in Japan !

1. En plein des bords de mer 

Pour la 5e édition du week-end au Japon, l’association Nippon-Breizh-Saint-Nazaire a choisi le thème du bord de mer. Une exposition, dont les photos sont issues du calendrier de pêcheurs de Kesennuma, raconte le quotidien des pêcheurs de cette ville, dont le port a été dévasté à la suite de la catastrophe de Fukushima, en 2011. « Ce sera la première exposition en France de ces photos prêtées par l’association Kesennuma Tsubaki-Kai ! », annonce Masayo Ogino, membre de l’association. 

2. Découvrir un archi pôle culturel 

Au-delà des mangas, de la pop culture, des sushi ou arts martiaux, artisans, créateurs et exposants venus du Japon ou de la région lèvent le voile sur les trésors culinaires et artistiques d’une culture ancestrale. 

3. Ramen… à manger 

Parce qu’il n’y a pas que le sushi dans la vie, vous allez déguster… le dîner du chef cuisinier Keishiro Saito. Venu tout spécialement de Kesennuma pour préparer les spécialités de sa région, il est accompagné de deux brasseurs de cette ville portuaire du nord du Japon pour une découverte de leur saké. Au menu encore, des mets locaux au Garage comme le melon pain de Anba, une spécialité boulangère, ou les pâtisseries japonaises 100 % végétales, sans gluten ni lactose : les mochis de MonMochi… 

4. L’art de se plier en quatre 

Furoshiki (art d’emballer les cadeaux et objets dans un tissu) ou origami, les arts du pliage n’auront plus de secret pour vous tandis que l’artiste japonaise Tchiyoko partagera sa maîtrise de l’hariko, l’art ancestral du papier… empilé. Découvrez l’origine des kanji (idéogrammes empruntés au chinois), initiez-vous au japonais ou au sumi-e (peinture à l’encre de chine)… lors d’ateliers en libre accès ou payants sur réservation. Assistez encore à des démonstrations gratuites de gyotaku, une tradition de pêcheurs datant du XIXe siècle pour fixer l’empreinte d’un poisson sur du papier. Métaphore de la vie et de la philosophie de la résilience, découvrez le kintsugi. Une technique de réparation, de consolidation et d’embellissement de céramique brisée, qui signifie « jointure en or ». Participez enfin aux animations comme les danses traditionnelles et les représentations de kamishibai (théâtre de papier) illustrant un ancien conte japonais… Les 23 et 24 mars, partez loin des clichés à l’archipel !